Des centaines de hooligans ont été interdits
de stade pour comportement violent dans les Midlands de l’Ouest la saison
dernière et les derniers chiffres publiés ont révélé que ce sont les supporters
des Wolverhampton Wanderers qui ont été les plus sanctionnés...
Si c’est Leeds United qui sans surprise est placé en tête de ce classement des sanctions avec 162 thugs interdits de stade sur l’ensemble du territoire britannique, du côté des Midlands, ce sont les supporters des Wolverhampton Wanderers qui sont les plus sanctionnés avec 98 ordonnances d’interdiction de stade (banning orders) la saison dernière.
Si c’est Leeds United qui sans surprise est placé en tête de ce classement des sanctions avec 162 thugs interdits de stade sur l’ensemble du territoire britannique, du côté des Midlands, ce sont les supporters des Wolverhampton Wanderers qui sont les plus sanctionnés avec 98 ordonnances d’interdiction de stade (banning orders) la saison dernière.
En terminant cinquième de cette liste de 92
clubs, les supporters Wulfrunians dépassent largement leurs voisins d’Aston
Villa (79 interdits de stade), Birmingham City (73) et West Bromwich Albion
(37) selon les nouveaux chiffres de l’ACPO (Association of Chief Police Officers)…
Cette enquête a également démontré de
manière évidente que des adolescents sont "formés" par des hooligans plus
expérimentés, avec un nombre de jeunes lads qui a triplé en trois ans et la
crainte pour la Police de voir émerger une nouvelle génération de hooligans
prête à plonger de nouveau le football du Royaume-Uni dans les périodes de
violence des années 70 et 80.
Au-delà des statistiques et des
problématiques propres aux hooligans eux-mêmes, c’est le coût des mesures de
sécurités liés aux matchs de football quif ait aussi débat en ce moment en
Grande Bretagne puisqu’il en coûte jusqu'à £ 25 millions pour faire face à
l’ensemble des matchs professionnels chaque saison, mais l'année dernière, les
forces de Police ont seulement récupéré £ 15 millions des clubs et de la
fédération. Le reste étant pris en charge par le contribuable, d’où la
controverse actuelle…