Le
TSV 1860 a ainsi rappelé les mesures mises en œuvre par le club Bavarois pour
juguler l’implantation dans la Kurve de groupes néo-fascisants en collaboration
avec les principaux groupes ultras des Löwens.
Le
club Munichois a ainsi dédouané l’ensemble des groupes de supporters du TSV
1860 et notamment les Giasenga Buam qui ont pris le leadership dans la
Nordkurve après l’autodissolution de la Cosa Nostra, de tout activisme
fascisant.
Selon
les dirigeants de Munich 1860 qui réfutent toute relation avec les milieux
néo-nazis bavarois, ces accusations vont à l’encontre du mouvement „Löwenfans
gegen Rechts“ mais aussi de l’ensemble des supporters du TSV.
Une
position de principe et un engagement à se positionner clairement "contre
l'extrémisme de droite, la xénophobie et l'intolérance" qui consiste en
fait à dire que des membres des mouvements d’extrême droite sont (bien)
présents dans la "fanszene" des Löwens et notamment dans le Block 132, mais à titre personnel et autonomes des
groupes ultras officiellement constitués.
Une
explication qui ne fera certainement pas oublier aux mouvements antifascistes bavarois que
le CV de Wolfgang Hauner, le vice-président du Munich 1860, proposé sur le site
Internet du club, fait soigneusement abstraction de la période 1933-1945…
