Banderoles contre des dirigeants du Borussia Dortmund dans la Südtribüne du Westfalenstadion et beaucoup de tension dans le Gästefanblock occupé par 2000 ultras du Zenit Saint-Pétersbourg qui après quelques incidents sur le chemin du stade ont notamment brûlé un drapeau Allemagne portant l'inscription "RECKE" (Recke est une commune de Rhénanie-du-Nord-Westphalie)...
Avant le coup d'envoi du match des membres du Dortmunder Ultra-Gruppierung "Jubos" ont brandi plusieurs banderoles contre Hans-Joachim Watzke et Christian Hockenjos, le Président exécutif du BvB et son directeur de l'organisation, avec un message sarcastique : "Hockenjos, Watzke und Co. packt euch doch in Watte ein … Wenn wir wollen, kriegen wir alles rein. Gegen Zensur"...
Une critique qui faisait allusion à une mesure spécifique du BVB contre la Südtribüne après une menace de sanction la part de la Fédération Allemande suite à d'autres banderoles apparues lors du match de Bundesliga contre le FC Nuremberg sur lesquelles étaient inscrits le message : "Ey Nürnberg : Kein Geld für Kokain ? Oder warum den Billigen Dreck Aus Tschechien ziehen?!"...
La DFB avait considéré que ce message avait un caractère raciste et avait demandé au Borussia de condamner ce geste alors qu'il était adressé au groupe ultra du FC Nuremberg "Banda di Amici" (le B, le D et le A de Billigen Dreck Aus étaient écrits en rouge) dont des rumeurs faisaient état de l'implication de plusieurs de ses membres dans un trafic de méthamphétamine...
gästeblock Zenit
