Après de longs mois d'attente et quelques tensions diplomatiques entre l'Italie et la Pologne, trois ultras de la Lazio, arrêtés, puis détenus à Varsovie, après le match de Ligue Europa du 28 Novembre 2013 contre le Legia, se sont vus confirmées les peines d'emprisonnements précédemment infligées qui sont désormais couvertes, pour deux d'entre eux, par les détentions préventives...
Le jour du match, 149 personnes avaient été interpellées, sans aucune distinction après que la Police ait essuyé des jets de projectiles de la part d'individus cagoulés durant le trajet vers le stade du Legia. Près de 750 tifosi de la Lazio était venus à Varsovie pour ce match de Ligue Europa. Quarante personnes avaient été ensuite incarcérées en Pologne sans raison valable, avant que certains puissent, après paiement d'une caution, être libérés.
Matteo Buttinelli et Daniele De Paolis, qui avaient toujours refusé de payer une caution exigée par la "Justice" Polonaise étaient restés durant 61 jours dans la prison de Bialoleka et voient leur condamnation "couverte" par cette détention de plus de deux mois.
Un troisième, Alberto Corsino, devra encore purger 12 jours de prison ou, à défaut, renoncer à une caution de 7200 € versée pour sa libération conditionnelle, malgré le manque de témoignages concordants et l'absence de preuve formelle de sa participation à ces incidents.
Le jour du match, 149 personnes avaient été interpellées, sans aucune distinction après que la Police ait essuyé des jets de projectiles de la part d'individus cagoulés durant le trajet vers le stade du Legia. Près de 750 tifosi de la Lazio était venus à Varsovie pour ce match de Ligue Europa. Quarante personnes avaient été ensuite incarcérées en Pologne sans raison valable, avant que certains puissent, après paiement d'une caution, être libérés.
Matteo Buttinelli et Daniele De Paolis, qui avaient toujours refusé de payer une caution exigée par la "Justice" Polonaise étaient restés durant 61 jours dans la prison de Bialoleka et voient leur condamnation "couverte" par cette détention de plus de deux mois.
Un troisième, Alberto Corsino, devra encore purger 12 jours de prison ou, à défaut, renoncer à une caution de 7200 € versée pour sa libération conditionnelle, malgré le manque de témoignages concordants et l'absence de preuve formelle de sa participation à ces incidents.