Après avoir nié les faits depuis son arrestation, Daniele De Santis, l'ultra de l'AS Rome accusé d'avoir mortellement touché Ciro Esposito, un ultra napolitain, le 3 Mai dernier à Rome, avant la finale de la Coupe entre Naples et la Fiorentina, a avoué avoir tiré sur Esposito, qui était resté sept semaines dans le coma avant de succomber à ses blessures.
Jusqu'à présent De Santis avait toujours nié avoir tiré sur Ciro Esposito. Il a cette semaine expliqué avoir tiré en état de légitime défense parce qu'il avait été attaqué par Esposito et d'autres ultras partenopei lors d'incidents qui étaient survenus à proximité du stade Olympique avant le début de match.
"Tous les mots sur ce qui s'est réellement passé ne feraient que nourrir un climat de haine et déclencherait d'autres folies étant donné que se tient contre moi de toute une ville comme s'il s'agissait d'une guerre", a déclaré De Santis aux enquêteurs, alors que déjà la tension monte à l'approche du prochain match entre Naples et la Roma du 1er Novembre prochain.
Un match à San Paolo qui est évidemment considéré comme à risques par le Ministère de l'Intérieur et pour lequel sera bientôt organisé une réunion sur le plan de sécurité qui sera mis en place. Un millier d'agents sont d'ores et déjà prévus pour sécuriser le stade San Paulo et ses environs.
Pour l'instant, l'interdiction de déplacement est limitée aux tifosi romanisti qui ne sont pas en possession de la "tessera" mais une décision pourrait rapidement intervenir interdisant la présence de tifosi giallorossi dans la Cité de Campanie et du côté de Fuorigrotta...
Jusqu'à présent De Santis avait toujours nié avoir tiré sur Ciro Esposito. Il a cette semaine expliqué avoir tiré en état de légitime défense parce qu'il avait été attaqué par Esposito et d'autres ultras partenopei lors d'incidents qui étaient survenus à proximité du stade Olympique avant le début de match.
"Tous les mots sur ce qui s'est réellement passé ne feraient que nourrir un climat de haine et déclencherait d'autres folies étant donné que se tient contre moi de toute une ville comme s'il s'agissait d'une guerre", a déclaré De Santis aux enquêteurs, alors que déjà la tension monte à l'approche du prochain match entre Naples et la Roma du 1er Novembre prochain.
Un match à San Paolo qui est évidemment considéré comme à risques par le Ministère de l'Intérieur et pour lequel sera bientôt organisé une réunion sur le plan de sécurité qui sera mis en place. Un millier d'agents sont d'ores et déjà prévus pour sécuriser le stade San Paulo et ses environs.
Pour l'instant, l'interdiction de déplacement est limitée aux tifosi romanisti qui ne sont pas en possession de la "tessera" mais une décision pourrait rapidement intervenir interdisant la présence de tifosi giallorossi dans la Cité de Campanie et du côté de Fuorigrotta...
