Après les affrontements survenus ce week-end à Madrid au cours desquels un ultra du Deportivo La Corogne a été tué et de nombreuses autres personnes blessées, l’Atlético Madrid a décidé d’exclure du stade Calderon les membres du Frente Atlético, le groupe ultra Rojiblanco impliqué dans cette bagarre mortelle.
Un communiqué a été publié par le club indiquant "qu'après les incidents gravissimes, le club a créé une commission spécifique pour demander des informations et prendre des mesures. Après réceptions du compte-rendu policier, identifiant des membres du Frente Atlético parmi les interpellés et impliqués dans ce combat, la décision a été prise d’expulser le Frente Atlético". 15 personnes interpellées sont des ultras de l'Atlético. Sept, socios du club, ont été exclus immédiatement.
Un communiqué a été publié par le club indiquant "qu'après les incidents gravissimes, le club a créé une commission spécifique pour demander des informations et prendre des mesures. Après réceptions du compte-rendu policier, identifiant des membres du Frente Atlético parmi les interpellés et impliqués dans ce combat, la décision a été prise d’expulser le Frente Atlético". 15 personnes interpellées sont des ultras de l'Atlético. Sept, socios du club, ont été exclus immédiatement.
Une vingtaine d'ultras interpellés lors de ces violences impliquant environ 200 personnes, membres du "Frente Atletico" associés aux "Ultra Boys" du Sporting de Gijón et les "Riazor Blues", auxquels s'étaient joints des "Bukaneros" du Rayo Vallecano, et des "Alkor Hooligans" venus d'Alarcón, ont été présentées aujourd'hui à un juge espagnol, accusées "d'altercation violente", "agression contre personne dépositaire de l'autorité publique" ou de "désobéissance et résistance".
