Aucun incident notable lors de ce déplacement de Boca Juniors au Chili pour son premier match du Groupe 5 de la Copa Libertadores pour lequel tous les barrabravas de La 12, dont Rafael Di Zeo, sous le coup d'une interdiction de stade se sont vus interdire l'entrée du stade Santa Laura par la Police chilienne à la demande des autorités argentines...
Comme cela avait déjà été le cas à la Bombonera lors du premier match de championnat de la saison contre Olimpo (toutes les bâches étaient à l'envers en signe de protestation et l'emplacement de La 12 dans la "popular" laissé vide) les barrabravas de Boca sous le coup d'un "derecho de admisión" se sont vus interdire l'accès du stade Santa Laura de Santiago selon une liste qui a été fournie par le ministère argentin de la sécurité à son homologue chilien.
Lors du Superclásico de "verano" à Mendoza, Rafael Di Zeo et Mauro Martin avaient pu entrer dans le stade Malvinas Argentinas et marquer ainsi leur réconciliation publique en toute impunité...
